Votre avis sur Denain

Une ville qui commence à disparaître : elle est très noire, triste, et la jeunesse ne peut pas évoluer car il n'y a plus de travail.

Denain se relève : Une ville qui renaît de ses cendres grâce au dynamisme de sa municipalité, de ses commerçants, de ses artisans et de ses associations. Ce que j'aime à Denain : L'environnement qui s'embellit. Ce que je n'aime pas à Denain : Les images du passé qui ont la vie dure.

Vue par un habitant : Ca pourrait être bien... Ce que j'aime à Denain : Le fait d'avoir tout à portée de main, et quelques espaces sont encore beaux et verts. Ce que je n'aime pas à Denain : La politique culturelle.

Ex-Denaisien : J'ai quitté Denain en 1990 (j'avais 18 ans), quand j'ai quitté cette ville, il y faisait bon vivre : je me suis installé sur Rouen (76) et découvert une toute autre qualité de vie : délinquance de haut vol, agression à répétition (je parle de 1990 !), j'ai défendu ma région de naissance bec et ongles face à des incultes ne connaissant le Nord qu'à travers des clichés d'une autre époque, des gens qui jugeaient sans avoir jamais mis les pieds chez nous : un miracle !!! J'ai regretté d'être parti mais je n'avais pas mon mot, à dire à ceux qui aujourd'hui pense que la vie est difficile dans le Nord - pour avoir connu de nombreuses régions - la vie est difficile partout mais c'est plus facile quand on garde ses racines ! Ce que j'aime à Denain : A l'époque le nombre de commerçants (que je connaissais pour la plupart). Les transports : à l'époque la Sémurval proposait bon nombre de destinations à horaires réguliers. Les ducasses places Wilson et Gambetta. Ce que je n'aime pas à Denain : Objectivement je n'ai pas souvenir de choses désagréables concernant cette ville même si je sais que jamais je ne reviendrai habiter dans le Nord.

Triste! : Une des villes les plus tristes que j'ai pu voir. J'y travaille depuis 5 ans et je n'attends qu'une chose : avoir une mutation ! Ce que j'aime à Denain : Rien. Ce que je n'aime pas à Denain : La misère socio-culturelle, le peu d'envie qu'ont les gens de s'en sortir...