Votre avis sur Frévent

Nostalgique : J'y suis née, j'y ai passé ma jeunesse donc j'aime frévent mais les jolis coins de ballades ont été délaissés. Ce que j'aime à Frévent : Le marché, la diversité des magasins qui permet encore à la population vieillissante de s'approvisionner ; et bravo aux quelques associations qui essayent de dynamiser la ville. J'aime aussi le déversoir où j'allais faire de l'herbe pour les lapins avec ma grand mère. Ce que je n'aime pas à Frévent : La fontaine \"ti baptiste\" abandonnée, le passage du moulin pour y accéder fermé, dommage pour les personnes âgées qui restent dans le coin ; il serait judicieux de faire un pont en bois pour traverser la canche ; la foret de sapins sur les collines derrière l'usine qui a remplacé divers arbres qui avaient poussés naturellement, la pâtures où il y avait plein de pommiers et qui a été remplacée par un circuit de moto cross.

Beaucoup a dire manque de transports magasin de sport pour cycle : Village moyen aucun respect, rues trottoirs très sales excréments de chiens il n y a pas intérêt a marcher la tête en l'air les canettes de bières sur la route une jeunesse qui se moque de tous. Ce que j'aime à Frévent : La piscine, les chemins de rando, les commerces, mais un manque de jeux et d'espace pour les jeunes, le marché, maison de retraite. Ce que je n'aime pas à Frévent : Le manque d'incivilité aucun respect de l'environnement.

Ville fantome : Ma famille habite Frevent moi j'y suis plus mais j'ai passé mon enfance a Auxi le chateau. Il n'y a pas de travail la preuve j'ai du partir dans le Loir et cher pour travailler et Auxi comme Frevent me manquent et ma famille aussi, mais bon c'est la vie j'ai du boulot on va pas se plaindre. Je reviendrais dans quelques années a Frevent pour voir si ça a changé... Bisous a toutes les freventines et auxiloises. Ce que j'aime à Frévent : Pas grand chose y a plus rien.

Frévent : Frévent était une ville où il faisait bon y vivre il y a quelques années, mais maintenant c'est une ville d'insécurité, avec beaucoup de cas sociaux déliquants et irrespectueux. Les commerces ferment petit à petit, Frévent devient triste à vivre. Le taux de chômage est très élevé. La gendarmerie devrait être plus présente. Ce que j'aime à Frévent : J'ai aimé à Frevent, j'y ai passé mon enfance et mon adolescence. Ce que je n'aime pas à Frévent : La ville devient de plus en plus pauvre, sale. La mentalité des gens !  On dépense de l'argent pour de magnifiques musées, mais il n'y rien autour pour y attirer les touristes.

Nostalgie : Depuis toujours je reviens à Frévent plusieurs fois par an. J'y suis née en 1947 et j'en suis partie en 1966. Je suis triste de constater, à chaque retour, un peu plus d'abandon. Comment le maire précédent a-t-il pu laisser mourir ainsi une petite ville qui n'était déjà pas si prospère ? Plus de commerces, plus d'entreprises... Comme si cela ne suffisait pas, la ville est sale, que ce soit au "centre" ou aux alentours. Je pourrais continuer à faire un descriptif peu alléchant de la ville, mais parce que j'ai la nostalgie du Frévent de mon enfance, je préfère parier sur le dynamisme du nouveau maire à mobiliser ses "troupes" et à retrousser ses manches. Bon courage M. Théret !

Pauvre ville : Bienvenu à Frévent où l'on préfère s'occuper d'un centre ville sans intérêt, qui reste sale malgré les "efforts" des employés communaux. Ecartez-vous un peu de ce "magnifique" centre ville et observez l'entretien quasi inexistant des autres quartiers. Voila, c'est ça Frévent, une ville qui meurt. Ce que j'aime à Frévent : Le frévent des années 80... et avant. Ce que je n'aime pas à Frévent : Quand on y a toujours vécu on ne peut pas dire qu'on aime, mais on y est habitué.

Frévent se meurt : Plus de commerçant, plus ou presque plus d'usine, beaucoup trop d'impôt, beaucoup de boulot pour le nouveau maire, bonne chance. Ce que je n'aime pas à Frévent : Sa mentalité.

Ville sale : Plus de commerces, plus d'emplois, une ville sale où l'insécurité s'installe, du chômage, voilà ce que devient Frévent. Espérons que le nouveau Maire saura reprendre les choses en main. Ce que j'aime à Frévent : Son cadre vert. Ce que je n'aime pas à Frévent : Délinquance, trottoirs sales, pas de commerces. Les habitants de Frévent veulent du nouveau, pas seulement des loisirs sportifs réservés à une certaine classe.

Frévent la ville à la campagne : Frévent est une petite ville dotée de nombreux équipements sportifs et culturels. Que l'on soit jeune ou moins jeune, de nombreuses activités sont proposées aux habitants et pour des tarifs très bas. Le conseil municipal a une réelle volonté d'offrir une offre diverse à ses concitoyens. Frévent connaît un taux de chômage élevé mais la municipalité essaye d'enrayer cela en attirant des entreprises, en formant les demandeurs d'emploi... Ce que j'aime à Frévent : Le large panel d'activités, le fait d'être à la campagne et une équipe municipale à l'écoute des habitants et motivée pour faire bouger les choses Ce que je n'aime pas à Frévent : Certains jeunes qui ne respectent rien.

En déclin : Le "bien vivre" se dégrade de jour en jour. Une ville qui peut-être une solution pour habiter mais vraiment de façon provisoire. Ce que j'aime à Frévent : Les différentes activités proposées. Ce que je n'aime pas à Frévent : Une large partie de sa population, irrespectueuse des autres. Ses délinquants, une gendarmerie qui ne bouge pas, une mairie décevante par ses actes de favoritisme et de sa politique de l'autruche.

De retour à Frevent : C'est une petite ville où il fait bon vivre, mes souvenirs d'enfance y sont toujours vivaces. Ce que j'aime à Frévent : Mes souvenirs de jeunesse (1978 à 1993), le football, la campagne, le calme, les gens.

Au calme : Toute petite ville qui permet d'avoir un cadre où il fait bon vivre. Pour trouver un emploi, il faudra être très mobile. Beaucoup de personnes âgées y vivent, les jeunes préférant les villes. Ce que j'aime à Frévent : La proximité et le nombre de commerçants. La diversité des activités de loisir que l'on peut y pratiquer. Le calme. Proximité de la campagne. Ce que je n'aime pas à Frévent : La situation de l'emploi. Le manque de transport en commun pour relier les villes voisines. Les mobylettes (celles qui font un bruit de perceuse à 3h du matin).