Votre avis sur L'Haÿ-les-Roses

A. - 3 mars 2005 à 15:21
 Jpa - 26 juil. 2022 à 10:02
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https://www.linternaute.com/ville/l-hay-les-roses/ville-94038

Domage qui y et pas plus de parc de jeux pour les enfants parc de la bievre il y a rien c’était mieux avant avec des jai d’eau
Tout a été dit.......
Jean-Louismiquette
7 juil. 2019 à 12:21
D accord avec loulou mi. Depuis 2016 a l hay les roses. Sur 200 mètres banques. Agences immobilières. Coiffeurs et en effet impôts locaux exorhorbitants par rapport aux villes alentours. À part le parc ?????
Trop d impôts. De banques e. De coiffeurs. D agences immobilières et les transports Bof bof.
Ville qui ne sent pas aussi bon que son nom pourrait nous le faire penser.
Sophinette, l'Haÿssienne
12 mars 2017 à 16:31
Ce n'est pas la plus belle, je sais ! mais, entre elle et moi, c'est une histoire d'amour tendre. Toute ma famille -ou presque- y vivait. J'y suis moi-même née, y ai vécu, mon fils y a grandi, et hélas, je l'ai quittée il y a 15 ans. Depuis, de loin, je m'ennuie toujours d'elle ; Un peu comme dans la chanson "lettre à France" de Polnareff. Mon coeur est souvent triste quand je pense à "ma" ville de l'Haÿ et, comme je vieillis, je vais y revenir avant qu'il ne soit trop tard. Je la suis sur le net pourtant mais, sur celui-ci, je n'y retrouve pas son odeur. Je comprends pourtant fort bien les personnes qui n'y ont pas trouvé ce qu'elles attendaient -ou cherchaient-. En ce qui me concerne, je pense que le côté affectif prend de beaucoup le pas sur la raison ou même sur l'attractivité de cette ville. J'y reviendrai donc sans plus tarder, vraisemblablement au cours de l'année en cours ! j'y retrouverai avec bonheur, la petite église qui m'a baptisée, ma chère Roseraie, le petit ciné des Tournelles où j'emmenais mon fils quand il était enfant, la chère Anne, notre très jolie coiffeuse, et bien d'autres encore .... !! Je continuerai de voyager mais je conserverai mon port d'attache à L'Haÿ. Et, jamais plus, je n'en repartirai !
Ville calme, beau parc. Habite résidence des blondeaux, je suis déçu, le cadre verdoyant nous a eu quand on a visité pour louer. cette résidence est vieillotte, les propriétaires ne veulent pas investir pour rénover d'où prb de chauffage, d'eau chaude..., on entend les voisins faire pipi la nuit, les murs sont en carton! L'école des blondeaux soit disant réputé ne respecte pas le plan vigipirate les gens entre comme dans un moulin!
Vallée des renards
27 nov. 2016 à 10:59
Il y a bcp de chemin à faire
Le cadre est de loin comme les villes de issy les moulineaux ou sceaux
Le cadre est vraiment limite
Cela fait presque 5 ans que j'habite
L'image n'est pas l'image du parc de la roseraie
iris hochard
24 nov. 2016 à 11:55
Une ville aux 2 visages : un centre qui veut ressembler a un centre ville du 92 pour le reste des cités dortoir. une entrée de ville "Paul hochard" en attente de projet de sécurité de propreté bref délaissé au profit du centre plus BOBO qui voit se valider des projets a vitesse grand V, un maire qui parle qui promet mais cela ne s'adresse pas a tout le monde. bref déçu et pressé de vendre pour partir de cette zone.
50metres plus loin
21 oct. 2016 à 15:19
Bonjour je regrette qu'il n'y ai pas plus de commentaires sur cette page dommage pourtant il y a beaucoup de choses à dire ou des choses à soumettre en effet à l'hay les roses il n'y a pas grand chose il serait bien qu'on installe un restaurant gastronomique ou on goûterais la bonne cuisine francaise ,un pub ou les gens peuvent se rencontre boire un verre entre amis Des restaurants un peu plus chics .mais Le maire et ses élus préfèrent construire des immeubles et faire une halle de marche monstrueuse qui va défigurer le charme de la ville ils ferai mieux de mettre aux normes le marché Locarno ça leur couteraient moins cher et inviter les entreprises à s'installer .la plus part des locaux sont pris par les agences immobilières,les banques et les coiffeurs alors il est difficile de trouver un local correcte pour installer un commerce de bouche ou de rencontre . Ceinture 21 à demenage 50 metres plus loin j'ai demander si je pouvais louer leur ancien local pour installer un salon de thé chic et branche on m'a répondu que le local était déjà pris dommage encore une fois la mairie accepte vraiment n'importe quoi .
bonjour,
j'habite l'hay depuis 15 ans dans le quartier dit populaire du jardin parisien,moi je dirai plutôt mixte socialement et ethniquement parlant. J'ai choisi d'habiter cette ville pour la proximité parisienne et pour son côté dépaysant parce qu'être réveillée par le bruit des oiseaux à 6 kms de la porte d'Italie c'est magnifique. Cependant, ses dernières années j'ai vu dépérir le marché couvert, plus de clients mais très peu de commerçant avec de la bonne marchandise. Le centre ville est devenu laid, à mon arrivée il y avait un marchand de jouet en bois, un Natalys des petits restaurants sympathiques maintenant entre japonais et pizzas nous avons le choix. Dans mon quartier il y avait un marchand de journaux, un pressing une vraie vie commerçante, aujourd'hui le maire veut faire partir la bibliothèque vers la roseraie et il ne nous restera plus grand chose, déjà que l'école du quartier se vide au profit des écoles privées voisines.
Alors oui il y a le métro qui arrive dans quelques années, cela fera peut être monter le prix de nos maisons si nous ne sommes pas expropriés par le Grand Paris avant.
et bien voilà l'hay c'est vraiment une ville dortoire où on part travailler le matin en déposant nos enfants dans des écoles hors de la ville, où nous pratiquons des sports hors de la ville et où nous divertissons hors de la ville. Dommage qu'aucun politique ne sache réagir et quel gâchis
bonjour
je postule pour un emploi de nuit comme gardien RQTH
Bonjour,
J'habite à l'Hay les roses depuis 15 ans.
J'aime bien cette ville mais je constate qu'elle perd de sa superbe au fil des ans. Les voisins d'origine Française ont disparu sauf quelques exceptions et ont été remplacés par des personnes issues de l'immigration. De plus, on note une représentativité fable voire inexistante de ces populations dans la gestion de la mairie et des affaires publiques et des commerces. En outre , la ville devient de plus en plus une ville dortoir avec les immeubles qui poussent partout et pas assez de sociétés. Dans les établissements scolaires, même si certains enseignants sont très compétents, ils se laissent parfois influencer par d'autres qui ont des à priori sur les populations issues de l'immigration. Même si ces derniers ne sont pas parfaits, il faut une volonté et une bonne prédisposition pour pouvoir les faire avancer. Du côté des lycées, la tendance est de regrouper certains élèves à problème dans une même classe au risque avec pour risque de mettre tout le monde dans le même sac. Il aurait fallu au moins leur assigner des professeurs très expérimentés au lieu de leur préparer dès le début leur entrée en formation professionnelle. La déception que cela provoque pousse la plupart à être déçu et à arrêter tout apprentissage au risque de tomber dans des extrêmes indésirables. Une meilleure gestion de toutes ces affaires aurait fait de l'hay les roses une ville où tout le monde aimerait habiter.
Ville gérée par des incompétents qui veulent réduire le budget à 0.
Pas d'investissement dans les infrastructures, on se serre la cinture et on meurt à petit feu.
Amen
résidence les jardins d'iris
9 avril 2015 à 17:11
insécurité grandissante agressions et cambriolages, rues sales,
Bien sûr, il y a les nuisances de l'autoroute, mais c'est l'objet d'un record en France et même en Europe: la ville traversée par la plus grande largeur d'autoroute; on peut prendre ça positivement à notre époque de record sur record !
La proximité de Paris (7km seulement de Porte d'Orléans), ne favorise pas l'animation le soir, mais il y a des petits restaurants qui ne demandent qu'à recevoir des clients; il y a 1 marché au Petit Robinson 2 fois par semaine qui rappelle le côté provincial ou campagne, et 1 marché couvert le dimanche matin, tous très fréquentés où l'on trouve des commerçants sympa et dynamiques.
La paroisse est très cosmopolite et très chaleureuse.
La nouvelle municipalité s'emploie avec les équipes techniques à rendre la ville plus attrayante, mais ce n'est pas évident avec l'emprise politique ( voire politicienne) du Conseil Général qui fait fi des orientations et souhaits des lhaissiens; après les élections départementales de 2015 qui ont redécoupé le canton, les choses changeront peut-être dans le bon sens. Côté culturel, l'auditorium fait le plein avec ses programmations éclectiques et l'école de musique exercice un vrai rayonnement auprès des jeunes (si on s'intéresse à la musique). si on s'intéresse à l'histoire, il y a plein de choses à découvrir. Et puis si on veut sortir de L'Haÿ, les axes autoroutiers si décriés permettent de s'évader (et d'y revenir) sans pâtir des bouchons parisiens.
Provincial mais installé à L'Haÿ depuis 1983, je m'y plais beaucoup.
Une nouvelle association à l'Haÿ-les Roses ! Toutes les infos sur https://www.facebook.com/pages/Les-Bulles/1475432619372576
Pas de métro, mais des bus plus fréquents et du soir.
je suis née a l'hay au tennis situé à la limite de bourg la reine mes grands parents sont venus en 1926
j'aime l'hay un peut village très belle roseraie je suis du quartier petit robinson
dans le temps ressemblait a Robinson pour ces guinguettes la bievre a l'air libre j'y allait pecher des grenouilles que je relachait bien sur

j'aime toujours autant l'hAY
Sans âme : Je vis a l'hay depuis 10 anspratique pour sa proximité avec le rer b. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : La qualité des transports en commun. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Ville sans âme a l?exception du centre ville, beaucoup de quartiers pourries. Pas de place pour se garer. L'un des pires réseaux internet français. Le collège ronsart et sa population.
Une pas grand chose : Si l'on ôtais tous les "biais de sentimentalité" (personnes qui y sont nés et/ ou y on vécus leur enfance) aux commentaires sur l'hay les roses, force est de constater... Qu'il n'y resterait pas grand chose. A l'image de cette ville de la grand ceinture. L'hlr n'est en fait rien d'autre qu'un endroit où mettre une sous-préfecture, et une cité dortoir. Rien n'est vraiment agréable : on a vite fait le tour de la roseraie, les transports urbains sont une invitation à acheter une voiture, le paysage est une mosaïque de barre d'immeubles et de pavillons en parpaings, les gens ne sont pas bien méchants mais ils sont juste de passage entre leur boulot à paris et leur lit ikea, les commerces ne sont pas légion et ferment tôt, il n'y a aucune vie après 21h. Comme elle est de plus assez loin de paris (le rer b quelle déprime... Et il faut encore l'atteindre à bourg la reine) c'est une ville triste et sans charme. Pour le même prix, préférer des villes plus sulfureuses et/ou populaires de la proche banlieue, mais carrément plus vivantes ! Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Rien. Sans acharnement et sans haine pourtant. Mais je ne vois pas ce qu'on peut y préférer à n'importe quelle autre ville. Même cachan fait meilleurs figure. C'est dire. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Seul un enfant de géant pourrait s'amuser de cet espace pour y faire rouler ses petites voitures en ligne droite. Une ville de playmobils. Pour nous, pauvres humains, c'est juste la déprime.
Très jolie ville, mais... : J'habite à l'hay les roses depuis quelque temps. Je trouve que c'est une très jolie ville qui donne un petit air champêtre qui me ravi. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : La proximité des magasins, la sympathie des commerçant, le côté campagne avec ses magnifiques fleurs. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Le bruit constant, des travaux ou l'entretien des rues ou que sais-je... Certes c'est nécessaire, mais tous les jours c'est invivable. Le bruit fait perdre tout son charme a cette si jolie ville et me conduit à envisager mon départ, a mon grand dam. Il est dommage qu'il n'y ait pas de métro mais si ce n'était que ça je resterais.
Ville agréable en famille : Je vis à l'haÿ les roses depuis 6 ans. D'abord célibataire puis en couple, et, enfin, maman de 2 enfants, j'ai pu profiter de tous les attraits de la ville. Nous apprécions beaucoup notre quartier (centre-ville) à l'allure de centre-ville de province avec ses petits commerces, sa belle église et bien sûr son magnifique parc de la roseraie ! Nous avons vécu dans plusieurs résidences du centre avant d'avoir élu domicile permanent résidence des jardins dispan. On y a tout ! On est en hauteur et apprécions notre sentiment de liberté, on a le calme grâce au parc qui entoure les bâtiments, les petits commerces au pied de la résidence et les transports tout autour. Les enfants sont ravis de retrouver les copains en toute sécurité. On est tout près de paris, grâce aux bus et métro, et on a encore une vie de quartier ! Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Ma résidence, mon quartier, la roseraie. Accès aux voies rapides. La qualité de vie supérieure à ce que nous avons vécu à cachan ou arcueil. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Certains quartiers moins charmants : paul hochart, quartier des fleurs (pas très vivant) les taxes un peu élevées, mais qui assurent une certaine tranquillité de voisinage.
Quel dommage pour une sous prefecture : J'habite à l'hay depus 2001 et je trouve que le territoire est inexploité. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : L'identité propre de chaque quartier. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Le manque de cohesion dans la gestion de la ville, le bruit du à l'avenue paul vaillant couturier et l de l autoroute, aucune politique des transports il est temps de changer de maire.
Petit village : Le centre ville est très beau... Reste encore petit village. Je suis née ici. En 1932. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Les rues. Les maisons. Encore un peu village... La roseraie superbe... Les fêtes. Le noël. Les animations diverses. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Quartier du petit Robinson, on peut mieux faire plus de verdure. Autour de ce carrefour. On peut toujours espérer.
Passé-présent : Hier les jardins et les prés ont laissé place aux maisons et aux chemins qui serpentaient le village et les vignes. Ils portaient les noms de leurs destinées. Les grandes propriétés ont marquées leurs empruntes de par leurs illustres propriétaires. Jules Gravereaux la Roseraie, et son avenue présentent aujourd'hui sortent hier d'un grand parc. Pierre Bronzac, la fontaine, la rue, la résidence aujourd'hui, hier sorties d'un grand parc, Pierre Tabanou, maison de retraite, hier ancien maire. Etc... Aujourd'hui le passé s'est adapté aux modes de vie moderne oubliant de promouvoir son savoir faire auprès des jeunes générations. Ses talents alliant la mémoire d'hier et la création d'aujourd'hui expriment maladroitement ses couleurs culturelles. Dommage il suffirait de pas grand chose pour attirer les regards sur la ville. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : L'identité de chaque quartier, ses sentiers préservés. Un cadre de vie agréable. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Manque de commerces de proximités, manque d'ouverture d'esprits chez certains citoyens.
J'aime cette ville ! : Après avoir vécu successivement à Drancy, la Courneuve, paris 14 et 18, Châtillon, Fontenay-aux-Roses, Boulogne, le Plessis-Trévise, Rueil-Malmaison, je peux dire que c'est là où je me sens le mieux ! Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Le centre-ville, le parc et la roseraie, les prix moins chers (sur les marchés, les pressings etc...) par rapport au 92, les axes routiers qui donnent la possibilité de rallier paris par plusieurs chemins (indispensable la semaine ! Une convivialité extraordinaire : les gens se parlent et sont simples ! Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Il y a un peu trop de cités à mon goût, en fait autant que dans les villes plus chères du 92, mais les loyers étant moins élevés et la ville possédant plus d'espaces verts et de rues pavillonnaires, ce n'est donc pas vraiment un problème ! Trop de nouvelles constructions d'immeubles.
La ville de mon enfance : J'habite cette ville depuis 60 ans et ce n'est plus ville que j'ai connu, bien sur tout change, mais pas toujours en bien malheureusement. Certains quartiers sont privilégiés par rapport à d'autres. Les bailleurs ne font rien pour arranger, ils se contentent d'encaisser les loyers, faire une réhabilitation vite fait, sans plus, mais laisse l'extérieur dans un été de dégradation permanente. Les habitants se sentent abandonnés. L'insécurité montante fait peur. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : La proximité de paris, la roseraie, l'aéroport d'Orly pas loin ce qui est facile pour partir en voyage. Le marché de noël, le grand marché Locarno avec ses nombreux commerçants. Les commerces, comme Lidl à Villejuif, leader, carrefour, la proximité de belle épine. C'est la ville de mon enfance, mais elle me déçoit, de plus en plus. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : L'insécurité grandissante et montante dans mon quartier le jardin parisien, qui depuis quelques temps devient un haut lieu de dealers, voitures brûlées. Irrespect envers les plus âgés. Non respect de l'environnement et l'équipe municipale qui nous oublie.
Une ville agréable : Dans l'ensemble une commune agréable, avec une équipe municipale compétente. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Sa roseraie,son petit centre ville ,son cinéma. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : La difficulté du stationnement Des impôts bien trop élevés.
Que reste-t-il de notre ville ? : Evoluer n'est pas forcément tout changer. Les bases, les racines, les fondations ne sont pas de vains mots. Et le respect de l'identité surtout est ignoré afin, peut-être, de laisser une nouvelle griffe sur le devenir et, plus concrètement aussi, sur les plaques des rues. Qui vivra verra... Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : M'y retrouver comme dans un refuge lorsque je reviens de l'extérieur, surtout de la capitale, si proche. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Le chemin qui nous conduit à devenir un "arrondissement" de la capitale.
Préserver le côté sympa de cette ville : Peut mieux faire compte tenu de la situation et de la beauté du site. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : La proximité de Paris et le charme du centre ville. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Le développement sans âme de l'architecture de la ville.
L'Hay de mon enfance : Je ne suis pas née à L'Hay mais c'est tout comme : je n'avais pas deux ans à mon arrivée. J'y ai grandi à une époque où il y avait encore des encriers sur les tables, où 10 bons points valaient une petite image et 10 petites valaient une grande ! Quel trésor ! Symbole de bon travail et de constance... Il y avait aussi cette dame qui passait dans les classes de l'Ecole des Blondeaux avec son guide chant, objet extraordinaire destiné à nous faire chanter juste et dont un élève devait actionner le soufflet. A la fin du mois de juin c'était la fête de l'école : la remise des prix en grande cérémonie sur l'estrade dressée dans la cour devant l'assemblée assise des familles réunies pour la circonstance ; chaque classe présentait un spectacle, fruit de nombreuses répétitions : une musique de qualité, des costumes pétillants, des danses, des chants, des récitations de beaux textes mais, clou du spectacle, il y avait surtout ces piles de livres magnifiques et enrubannées remises aux élèves méritants en guise de salaire pour une année entière de travail ; l'école était belle et les institutrices respectées. Sur le chemin de l'école nous traversions un champ, où je jouais le jeudi après-midi avec les jeannettes tout habillées de bleu et cravatées ; il faut dire qu'il y avait encore des champs un peu partout : aucune cité, pas de grands immeubles mais des fermes et des jardins maraichers ; pendant des années le chant du coq de mes voisins a sonné l'heure de mon réveil ; il se trompait parfois : il lui arrivait de chanter au beau milieu de la nuit ; c'était très drôle, tout le quartier s'en émouvait. Aujourd'hui, L'Hay est une ville très construite où seule la Roseraie et son parc ont été épargnées par le béton, je me souviens que le jeudi matin nous la traversions pour aller au catéchisme, nous spéculions sur un tumulus qui excitait notre imagination et nous étions attentifs au coups de sifflets furieux des gardiens qui pourchassaient les téméraires qui osaient s'aventurer sur les pelouses alors interdites... nous nous enfuyons comme des volées de moineaux, terrifiés et rieurs à la fois. Le parc était alors une terre d'aventures, broussailleux par endroit avec des bâtiments quelque peu en ruine et tout plein d'interdits. Rien de commun avec ce qu'il est aujourd'hui, propret, entretenu, organisé et accessible ; il a perdu en mystère ce qu'il a gagné en ordonnance. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Les bonheurs de mon enfance, la mémoire de mon père s'affairant au jardin ou tout fleurissait entre ses mains : les roses, bien sûr, mais aussi les pivoines somptueuses et fugaces, les tulipes aux formes parfois si étonnantes, le souvenir gourmand de mes lectures perchées dans le cerisier du jardin où il me suffisait de tendre la main pour me régaler de cerises noires et sucrées. En fait j'aime l'autrefois  de l'Hay... Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Je regrette cette douceur de vivre perdue. L'insécurité régnante et l'agressivité de certains ont fait naitre des sentiments alors inconnus, la peur, la méfiance, le rejet même, tous ces sentiments évidemment peu compatibles avec ce bonheur de vivre d'autrefois à la fois si simple et si confiant, des constructions laides et sans charme ont fait évoluer L'Hay très différemment de ses voisines Bourg-la-Reine ou Antony cependant a priori moins naturellement favorisées puisque enfoncées dans la vallée et regroupées autour de l'énorme axe de la Nationale 20 - que dire de la mairie nouvelle version ? - il manque l'envie du beau et de l'harmonie en toute chose qui jadis naissait si facilement en France. Ce savoir-faire et ce désir sont-ils irrémédiablement perdus ou est-ce seulement l'absence momentanée de talent ? Sourire et douceur de vivre... tout un patrimoine mais plus une actualité... à mon grand regret.
Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : La roseraie. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Le manque de transports en commun.
Ancien Hayssien : Je suis né à l'Hay-Les-Roses en 64, j'y ai fait mes études, je n'ai que des bons souvenirs, la nostalgie Vien quelquefois me rendre visite. Merci internet car grâce à lui, je peux voir ma ville car j'ai quitté l'Hay-Les-Roses en 1994 et je suis partie en Normandie pensant bien faire. Peut-être qu'un jour j'y reviendrai. J?aimerais faire connaître à mes enfants les lieux ou j'ai grandit, prêt du jardin parisien rue des Primevères. On pouvait encore jouer le soir dans les rues, des travaux avaient été faits dans ma rue, alors avec mon copain Francis on jouait avec nos figurines au Tour de France. Quelle belle époque ! Cela date que des années 74-77 et j'en garde vraiment de très bons souvenirs. Maintenant j'ai 43 et je suis nostalgique. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Le fait que même si Paris se trouve à quelques kilomètres, nous étions en campagne. Mais maintenant, lorsque j'y passe, je retrouve ce petit quelque chose et je me sens bien. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Il y a trop de circulation, plus aucune place disponible, la grisaille et la tranquillité perdue.
Roseraie : De l'extérieur c'est une jolie petite ville un peu dense. Son bijou, c'est le parc départemental en pleine ville et la roseraie en son coeur.
Une banlieue... où il fait bon vivre ! : Arrivant de ma campagne limousine, je n'ai pu qu'apprécier cette ville qui a su conserver son centre historique et commercial. De très bons commerces, un parc magnifique et très bien entretenu, des logements sociaux proches du centre, des infrastructures pour le sport et la culture, et même un cinéma de quartier, tout ça à proximité de Paris... Pour moi, c'est une ville très paisible, avec des habitants sympathiques et de tous horizons, une ville de banlieue où il fait bon vivre ! Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Le calme, le marché, les commerces du centre, le parc, les logements sociaux bien intégrés dans la ville, les animations de rue (brocantes, festival de l'Ôl'Ô, marché de noël, courses à pied, danse urbaine, ...), la piscine, les écoles, la proximité de Paris sans les désagréments de la grosse ville... Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : La désertification des commerces et autres commodités de proximité dans les quartiers des Fleurs et du Petit Robinson ; le manque d'infrastructures de collecte et tri de déchets dans tous les quartiers ; le boulevard Paul Vaillant Couturier, véritable fossé bruyant au milieu de la ville, qui pourrait par exemple être muni d'un pont avec un chemin pédestre/cycliste menant au parc régional...
Une ville agréable : Une ville agréable avec un centre ville qui fait penser à un petit village de province mais qui mériterait d'être mieux valorisé. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Les espaces verts, notamment les jardins de la Bièvre et le parc des Prés, l'absence de gare, la tranquillité. La roseraie et la proximité du parc de Sceaux. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : L'abandon des quartiers ouest au profit des quartiers est. Le centre ville envahi d'agences immobilières, de banques ou de coiffeurs au détriment des commerces de proximité.
Bonheur d'enfance et d'adolescence : Ville où j'ai grandi... de l'école maternelle au collège, l'école de musique, le club des jeunes... que de bons souvenirs, des professeurs formidables. Ma vieille maman y habite toujours. Beaucoup d'efforts sont faits pour les personnes âgées. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Le centre de L'Haÿ garde encore un côté "provincial" rassurant par ses commerces de proximité, son petit cinéma. Les relations de bon voisinage "à l'ancienne" existent encore. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Un regret... pas de métro. Les escapades dans Paris nécessitent l'emploi des bus parfois trop rares en dehors des heures de pointe.
Vivre à L'Haÿ : Une ville excellemment située où il fait bon vivre. Une ville qui se cherche encore. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : La proximité de Paris et des axes autoroutiers (A6, A86, N118...), la sécurité. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : La circulation trop dense, l'absence d'axes lourds.
Ma ville : Je suis née à l'Hay les Roses en 1932, je me suis mariée à l'Hay en 1952 (54 ans de bonheur cette année), j'ai 2 fils et j'habite toujours l'Hay les Roses. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Le centre ressemblant à un village de campagne,  la roseraie. Pas très loin de Paris. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : Le petit robinson, quartier oublié, pourquoi n'avoir pas prévu de planter un arbre sur le carrefour, avec des fleurs, comme le font si bien les communes des alentours...
La ville de mes doux souvenirs : Je suis née à l'Hay-les-Roses en 1936, et malgré la guerre j'ai beaucoup aimé cette commune. A la fin de la guerre, j'aimais mon école, mon église, les douches, la fontaine Bronzac où l'on se désaltérait à la sortie de l'école et cette petite poste en face de cette fontaine. J'aimais ma ville et mon pays, la France. Il y avait moins de monde, on allait au bord de la Bièvre voir les grenouilles, on allait dans les champs chercher des mûres et cueillir de jolis coquelicots, parfois il y avait des noisetiers, alors on cueillait les noisettes, il y avait des roses dans tous les jardins des maisons, des lilas et encore plein de jolies fleurs. Je raconte maintenant à mes petits enfants mon enfance et ma jeunesse à l'Hay-les-Roses. Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : Dans ma jeunesse, je n'ai que de doux, de bons et tendres souvenirs : lorsque j'y reviens (je ne suis partie qu'en 1979) je ne retrouve plus cette douceur de vivre et ces immenses espaces que nous avions. Nous habitions rue des roux et les souvenirs sont toujours présents. En 1981, ma mère décédait, il a fallu vendre nous étions 3, elle est allée rejoindre mon père au cimetière de l'Hay. Avec nous vivait ma grand-mère née en 1874 et décédée en 1958 à l'Hay les Roses et ma fille est née aussi à l'Hay en 1964.
La Roseraie : L'Haysienne de naissance, j'habite depuis 30 ans en Angleterre. J'ai  dans mon jardin un rosier qui s'appelle "Roseraie de l'Hay" qui est très prisé ici et que l'on trouve dans tous les grands parcs ! Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : La disparition des jardins avec des maisons construites les unes sur les autres. Quel dommage !
Très agréable à vivre : Une ville conviviale, proche de Paris, très agréable à vivre.
Ce que j'aime à l'Haÿ-les-Roses : La verdure, le calme, la tranquillité et l'aspect village ancien, notamment du centre-ville. Ce que je n'aime pas à l'Haÿ-les-Roses : La circulation automobile et l'absence de gare.
C'est une ville moyenne où il ne se passe pas grand chose mais il y a beaucoup de possibilités.
Jolie ville à cinq kilomètres de Paris.