Votre avis sur Loc-Envel

Jacques - 7 déc. 2004 à 21:09
 Mozart - 21 déc. 2019 à 14:32
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Bonjour, mon arrière-grand-mère a été enterrée au cimetière de Loc-Envel entre les deux guerres (après 1919), mais je ne sais pas quand, et si même sa tombe existe toujours. Elle s'appelait Marie-Angèle Le Roux et s'est mariée avec Guillaume Marie Le Merrer, meunier, puis après le décès de ce dernier, avec Pierre-Marie Le Manach. Si quelqu'un pouvait trouver la date de la mort de Marie-Angèle Le Roux, je lui serais très reconnaissant. Merci d'avance.
je me promene de temps en temps au bois de coat an noz avec son majestueux chateau dernierement renove un bijoux d architecture mais le plus incroyable quand vous vous promener jusqu au village de loc envel vous etes subjuguer par cette chapelle tres belle et attirante au premier regard les habitants de ce petit village ecrin de la bretagne interieur m ont laisser un souvenir inoubliable de par leur accueil leur sympatie allez y ca vaux le détour moi je n y manquerai pas d y repasser
Souvenirs : Loc Envel est toute mon enfance. J'y ai vécu de 1939 à 1945, j'y suis revenu à toutes mes vacances scolaires et j'y reviens tous les ans sur les tombes de ma famille. Mon grand père y était sabotier et loc envel ce sont tous mes souvenirs d'enfance. Ce que j'aime à Loc-Envel : Le village et surtout son église avec son petit cimetière. Loc envel est resté authentique et donne envie de se souvenir.
J'ai passé toute la durée de l'occupation 41 à 44 à Loc Envel chez ma grand mère maternelle. A l'époque Loc Envel comptait 120 et quelques habitants contre 73 aujourd'hui. Il n'y avait ni téléphone ni électricité ni eau courante mais une école et qui marchait bien, trop bien pour moi. Résultat j'ai passé 4 ans à faire l'école buissonnière et lorsque je suis revenu à Paris je parlais couramment le breton mais très mal le français, sans parler du retard scolaire. Avec mes potes on se mettait à l'eau pour que les sangsues viennent sur nous, on les recueillait pour les vendre aux pharmaciens de Belle Ile en Terre. Là j'ai vraiment appris ce qu'est la nature, la vraie, il n'y avait rien d'autre à part la messe du dimanche et la lecture. Malgré l'occupation, c'était le bon temps, ouais le bon temps celui de la jeunesse et de l'insouciance. Mes vertes années comme disait Charles Trenet ...