Votre avis sur Seurre

Seurre ? La capitale des Beaufs en tout genre où les gens ont une mentalité de sectaire. Évitez ce bled et dirigez vous dans les communes voisines.

Bonne petite ville : Une ville qui a du potentiel, plaisante à vivre si elle sait rester simple et ne pas verser dans une mode touristique à outrance, tout en conservant les taux actuels de ses taxes pour les habitants locaux. Ce que j'aime à Seurre : Le cadre de vie, les relations routières aisées, l'esprit de calme, les commerces très dynamiques (peu chers dans leurs prestations !), le coût de la vie qui reste abordable. Ce que je n'aime pas à Seurre : L'impunité de certains conducteurs, jeunes ou moins jeunes qui jouent des gros bras ; la délinquance qui vient du Jura ou de Beaune (drogue, bagarres alcoolisées...) ; la difficulté à se promener sans être accosté dès 19 heures malgré la présence d'une gendarmerie proche...

Seurre au rythme de la Saône : Seurre a l'allure d'une ville avec pourtant une population limitée. Elle allie donc les charmes de la campagne, et la proximité des commerces. Bien sûr nous sommes à Seurre et non dans une grande métropole, donc il faut parfois prendre sa voiture. Située entre plusieurs grandes villes, il y a le choix. Le vélo, les baskets, et on se balade en pleine nature, au bord de la Saône, calme, au milieu des champs avec un horizon lointain ou dans les bois à la recherche de champignons. Les habitants sont froids... non ! Comme dans le nord, Si on ne parle pas trop dès le départ, une vraie amitié est possible : la preuve le nombre d'associations pour si peu d'habitants. Ce que j'aime à Seurre : Les paysages et le charme de la vieille ville. Les quais, le nouveau port et la plage. Le site de l'Etang Rouge, l'hospice (Hotel-Dieu) le degré en plus par rapport à la côte dijonnaise les nombreuses activités proposées, la piscine, le kayak, le rugby, la musique... la proximité des gens. La beauté des crues. Ce que je n'aime pas à Seurre : Le brouillard quand il dure plusieurs jours. Le soleil très pesant de l'été quelques fêtes sur les quais qui ont maintenant disparues.