Votre avis sur Saint-Georges-de-Didonne

Manques d’animations dommage pauvre st georges

Une petite ville facile à vivre : C'est une petite ville littorale très agréable à vivre. On y trouve tout le nécessaire mais surtout le calme et un cadre exceptionnel. Ce que j'aime à Saint-Georges-de-Didonne : Une impression "vacances" tout au long de l'année. Ce que je n'aime pas à Saint-Georges-de-Didonne : La destruction massive du charme architectural saint-georgeais...

Dommage : La ville, surtout les élus ont tendance à tout attendre du tourisme... mais que sera le tourisme quand le port méthanier du verdon sera réalisé ??? Ce que j'aime à Saint-Georges-de-Didonne : Les magnifiques paysages, les couchers de soleil sur le phare, les balades aux alentours...

Saint-Georges-de-Didonne : Une petite ville qui à tout pour elle mais qui n'avance pas. Ce que j'aime à Saint-Georges-de-Didonne : La plage, le phare, le petit port et les commerçants du centre. Ce que je n'aime pas à Saint-Georges-de-Didonne : L'hiver, l'état des routes, les transports, la propreté dans certains lieux, le trop peu de commerces, le stationnement en centre-ville, le manque d'animations.

Dix ans déjà : Y étant venus en vacances depuis une dizaine d'années, avons pris l'option d'une résidence secondaire. Souvenirs, souvenirs avec parents, amis, nièces et enfants d'amis. Ils se souviennent de la plage, 16h, heure des chichis, gaufres, glaces. Ce que j'aime à Saint-Georges-de-Didonne : La plage, le front de plage "non bétonné" (pour l'instant), la forêt et la pointe de Suzac, promenade du port, l'environnement vert jusqu'à maintenant... et puis les commerçants du marché ceux qui sont là, été comme hiver. Ce que je n'aime pas à Saint-Georges-de-Didonne : Ville "morte" à partir du 1er septembre jusqu'à Pâques, certains commmerçants doivent pouvoir se permettre de fermer 6 mois, tant mieux ! En revanche il y a les fidèles. Ce que je crains ? Les constructions à outrance, le bétonnage de l'avenue du front de mer.

Où il fait bon vivre... : A taille humaine, tournée vers le tourisme familial, St Georges réussit à équilibrer la vie quotidienne des 5 000 habitants permanents et des 45 000 vacanciers ou résidents secondaires. Ce que j'aime à Saint-Georges-de-Didonne : L'esprit "village" où il fait bon vivre. Sa magnifique plage, son environnement boisé, ses promenades... Même hors saison on y vit très bien, et l'on trouve l'essentiel sur place ... de toutes façons, Royan est à deux pas. Les activités culturelles et associatives sont très bien valorisées. Ce que je n'aime pas à Saint-Georges-de-Didonne : Le stationnement anarchique, sur les trottoirs, en saison et le comportement de certains "touristes" qui se permettent ce qu'ils s'interdisent le reste de l'année, alors qu'ils pourraient profiter plus sereinement du cadre magnifique et de la qualité de vie à St Georges.

Se ressourcer : J'ai la chance d'avoir un appartement à Saint Georges depuis 1985, j'y apprécie son cadre général, (mer, forêt, campagne), ses aménagements, et l'évolution de ses équipements au fil du temps. Ce que j'aime à Saint-Georges-de-Didonne : Les rues propres et entretenues, son centre ville piéton, sa longue promenade de front de mer, ses équipements sportifs et culturels, ses monuments (quelle belle église!), bref tout le charme d'une petite station balnéaire, sans prétention et sans chichis, mais résolument tournée vers l'avenir. Ce que je n'aime pas à Saint-Georges-de-Didonne : Se garer en été pour les touristes qui vont à la plage. L'hiver, c'est vraiment très calme, la station hiberne !

Très beau site, la plus belle plage du secteur. Ce que j'aime à Saint-Georges-de-Didonne : Le calme, la nature, la sérénité.

Petite cité très agréable qui reste conviviale malgré un bien modeste développement depuis 25 ans. Beaucoup reste à faire. Ce que j'aime à Saint-Georges-de-Didonne : Son cadre, son environnement, sa plage. Un magnifique site "le rocher de Vallières" jamais exploité à ce jour. Le calme hors saison (juillet/août). Ce que je n'aime pas à Saint-Georges-de-Didonne : Le très mauvais état des rues, l'énorme roncier et la friche qui envahissent "le rocher de Vallières" depuis des années.