Pourriez-vous me donner des renseignements sur "l'île de Saint-Cade dans l

Utilisateur anonyme - 11 mars 2010 à 18:53
 Utilisateur anonyme - 16 mars 2010 à 02:49
pourriez-vous me donner des renseignements sur "l'île de Saint-Cade dans le Morbihan ? Merci.
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7 réponses

Utilisateur anonyme
12 mars 2010 à 14:16
c est un coin de bretagne qui est superbe ce n est pas très grand mais alors pour les amoureux de vielles pierres une chapelle et maisons petit sentier pour aller a la mer c est st cado

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Utilisateur anonyme
12 mars 2010 à 19:08
il s'agit en fait de l'ile de saint cado située dans la rivière d'ETEL sur la commune de BELZ dans le département du Morbihan près de la cote à mi chemin entre LORIENT et QUIBERON. c'est minuscule mais magnifique. un pont de quelques dizaines metres de long relie cette petite ile à la terre. A voir .
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Utilisateur anonyme
13 mars 2010 à 18:29
C ' est un endroit magnifique mais minuscule
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Utilisateur anonyme
14 mars 2010 à 18:39
Le petit pont de l'Ile de Saint Cado a été construit en une seule nuit, et par le Diable en personne ! En effet, le Cornu était venu proposer ses services à Saint Cado qui s'était installé sur l'île. Le Saint homme désirait qu'un pont permette aux fidèles de venir le voir plus facilement, mais il manquait de moyen pour le bâtir. En échange de ce menu service le Diable exige seulement de recevoir l'âme de la première créature qui passerait sur le pont. Marché conclu. Le lendemain, le pont est terminé. Saint Cado s'avance pour le traverser. Le Diable jubile à l'idée d'afficher un Saint à son "tableau de chasse". Mais au moment de s'engager sur le pont, Cado lâche un vilain chat noir devant lui : le pauvre s'empresse de rejoindre l'autre rive. Le Diable devra se contenter de cette âme là ! La chapelle est encore un lieu de pellerinage pour les sourds et mal-entendants : un trou au ras du sol, près de l'autel, permet d'y glisser la tête...et de retrouver l'ouïe, parait-il. Devant la chapelle se trouve un imposant calvaire en granite. Derrière elle se trouve aussi une fontaine, juste au bord de la mer. A coté de l'île de Saint Cado se trouve une autre île encore plus petite (voir photo). Un véritable confetti sur lequel se niche une minuscule maison (très bien entretenue, car elle figure sur bon nombre de cartes postales !) : c'était la maison d'un ostréiculteur (éleveur d'huîtres)...spécialité locale. Si les paysages sont magnifiques, la Ria d'Etel se pète assez peu aux baignades (vase), à moins de se rendre à son "embouchure", à la Barre d'Etel. La Barre est un banc de sable redouté des marins : il barre (d'où son nom) l'entrée de la Ria aux bateaux. On peut le voir émerger à marrée basse, mais à marrée haute, il devient invisible et donc très dangereux. Un sémaphore à proximité les guide ou leur déconseille fortement de passer, sous peine de naufrage ! Ce sémaphore se trouve sur l'autre rive de la Ria, sur la commune de Plouhinec ; il est tenu par une femme (il me semble d'ailleurs que c'est la seule femme sémaphoriste de France).

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Utilisateur anonyme
14 mars 2010 à 18:41
Le petit pont de l'Ile de Saint Cado a été construit en une seule nuit, et par le Diable en personne ! En effet, le Cornu était venu proposer ses services à Saint Cado qui s'était installé sur l'île. Le Saint homme désirait qu'un pont permette aux fidèles de venir le voir plus facilement, mais il manquait de moyen pour le bâtir. En échange de ce menu service le Diable exige seulement de recevoir l'âme de la première créature qui passerait sur le pont. Marché conclu. Le lendemain, le pont est terminé. Saint Cado s'avance pour le traverser. Le Diable jubile à l'idée d'afficher un Saint à son "tableau de chasse". Mais au moment de s'engager sur le pont, Cado lâche un vilain chat noir devant lui : le pauvre s'empresse de rejoindre l'autre rive. Le Diable devra se contenter de cette âme là ! La chapelle est encore un lieu de pellerinage pour les sourds et mal-entendants : un trou au ras du sol, près de l'autel, permet d'y glisser la tête...et de retrouver l'ouïe, parait-il. Devant la chapelle se trouve un imposant calvaire en granite. Derrière elle se trouve aussi une fontaine, juste au bord de la mer. A coté de l'île de Saint Cado se trouve une autre île encore plus petite (voir photo). Un véritable confetti sur lequel se niche une minuscule maison (très bien entretenue, car elle figure sur bon nombre de cartes postales !) : c'était la maison d'un ostréiculteur (éleveur d'huîtres)...spécialité locale. Si les paysages sont magnifiques, la Ria d'Etel se pète assez peu aux baignades (vase), à moins de se rendre à son "embouchure", à la Barre d'Etel. La Barre est un banc de sable redouté des marins : il barre (d'où son nom) l'entrée de la Ria aux bateaux. On peut le voir émerger à marrée basse, mais à marrée haute, il devient invisible et donc très dangereux. Un sémaphore à proximité les guide ou leur déconseille fortement de passer, sous peine de naufrage ! Ce sémaphore se trouve sur l'autre rive de la Ria, sur la commune de Plouhinec ; il est tenu par une femme (il me semble d'ailleurs que c'est la seule femme sémaphoriste de France).
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Utilisateur anonyme
14 mars 2010 à 18:43
Le petit pont de l'Ile de Saint Cado a été construit en une seule nuit, et par le Diable en personne ! En effet, le Cornu était venu proposer ses services à Saint Cado qui s'était installé sur l'île. Le Saint homme désirait qu'un pont permette aux fidèles de venir le voir plus facilement, mais il manquait de moyen pour le bâtir. En échange de ce menu service le Diable exige seulement de recevoir l'âme de la première créature qui passerait sur le pont. Marché conclu. Le lendemain, le pont est terminé. Saint Cado s'avance pour le traverser. Le Diable jubile à l'idée d'afficher un Saint à son "tableau de chasse". Mais au moment de s'engager sur le pont, Cado lâche un vilain chat noir devant lui : le pauvre s'empresse de rejoindre l'autre rive. Le Diable devra se contenter de cette âme là ! La chapelle est encore un lieu de pellerinage pour les sourds et mal-entendants : un trou au ras du sol, près de l'autel, permet d'y glisser la tête...et de retrouver l'ouïe, parait-il. Devant la chapelle se trouve un imposant calvaire en granite. Derrière elle se trouve aussi une fontaine, juste au bord de la mer. A coté de l'île de Saint Cado se trouve une autre île encore plus petite (voir photo). Un véritable confetti sur lequel se niche une minuscule maison (très bien entretenue, car elle figure sur bon nombre de cartes postales !) : c'était la maison d'un ostréiculteur (éleveur d'huîtres)...spécialité locale. Si les paysages sont magnifiques, la Ria d'Etel se pète assez peu aux baignades (vase), à moins de se rendre à son "embouchure", à la Barre d'Etel. La Barre est un banc de sable redouté des marins : il barre (d'où son nom) l'entrée de la Ria aux bateaux. On peut le voir émerger à marrée basse, mais à marrée haute, il devient invisible et donc très dangereux. Un sémaphore à proximité les guide ou leur déconseille fortement de passer, sous peine de naufrage ! Ce sémaphore se trouve sur l'autre rive de la Ria, sur la commune de Plouhinec ; il est tenu par une femme (il me semble d'ailleurs que c'est la seule femme sémaphoriste de France).
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Utilisateur anonyme
16 mars 2010 à 02:49
LA PHOTO EST UNE ANCIENNE MAISON D OSTRIOCULTEUR A COTE DE L LIE DE SAINT CADO MAIS SUR LA RIA D'ETEL CELLE APPARTIENT MAINTENANT AU CONSERVATOIRE DU LITTORAL.ET QUITTE A ALLER A SAINT CADO FAUT AUSSI ALLER VOIR LA BARRE D'ETEL DU COTE DE PLOUHINEC ET CE PAR TEMPS DE TEMPETE C LA QUE C EST LE PLUS BEAU ET LE PLUS IMPRESSIONANT
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